Aujourd’hui, la culture urbaine est omniprésente : elle inspire, divertit, transmet, et son influence ne se limite pas seulement à la musique. À une période où Instagram regorge de créativité et s’apparente à une réelle galerie d’art, focus sur quinze enfants d’internet qui se réapproprient l’image du rap.
@mathieubdt
Graphiste & illustrateur, il réalise et conçoit des supports variés autour du rap français. De la réalisation de pochettes d’albums fictives, à l’élaboration de logos, d’animations ou encore de fonds d’écran.
@cherifkid
Une technique artistique complexe et chaotique, une maîtrise d’un lien avec la peinture et le digital, cette griffe vaut le détour.
@naomless
Cette emprunte devrait vous être familière. Anciennement connu sous le pseudo de « Sawce Dealer », ce dernier a déjà fait ses preuves dans le domaine de l’illustration rap. Repéré par plusieurs rappeurs tels que Damso, qui a utilisé l’une de ses vidéos pour le teasing de Lithopédion, ou encore Booba, Vald, Luidji et d’autres encore, son travail explore également les coulisses du rap. Son art se dirige ainsi vers d’autres acteurs du milieu, à savoir les beatmakers avec Ponko, ou des youtubeurs (rappeurs à temps partiel), à l’image de Maskey.
@leoboreal
En cliquant sur ce profil, on s’interroge : « Qu’est-ce que je viens faire ici ? ». On plonge alors dans un univers psychédélique où le rose est roi. On ne comprend pas tout, mais l’important est ailleurs.
@drinks
Tes rappeurs préférés dans GTA, c’est désormais possible.
L1, L2, L1, L2, R1, R2, haut, bas, gauche droite.
@fakihi_art
Le rap game plongé dans un épisode de Dragon Ball.
@sazuravisuals
Des pochettes alternatives, des collages réfléchis et une ligne artistique maîtrisée de la première track à la dernière.
@joker745
La patte réaliste de Houssmane Mokrane vous transporte dans un océan de couleurs édulcolorées.
@s_tph.mcg
Stéphanie manie le pinceau pour réinterpréter de manière abstraite les covers de certains albums. L’artiste a d’ailleurs été repérée par David Lachapelle, suite à sa reproduction de la cover d’Astroworld, dont il est l’auteur.
@julianakicin_
Cette cover vous rappelle quelque chose ? Où est passé Saucegod ?
Juliana pose un regard féminin sur le milieu du rap. Elle le détourne puis le féminise en remplaçant les rappeurs initialement reproduits par des portraits féminins.
@streetdrawww.jpeg
Qu’est-ce que c’est trop beau la vie d’artiste.
@swooth
Une large palette de créations, de covers aux posters en passant par quelques pièces de merchandising élaborées par ses soins.
@igniseum
Des covers revisitées avec professionnalisme et une plume maniée avec précision.
@coverxanimes
Quand l’univers japonais se marie avec celui du rap, voici le résultat.
@wasscoast
Merci Wasscoast pour les travaux.